Bilan de désynchronisation
Vous souffrez de :
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Insomnie
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Troubles du sommeil
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Fatigue chronique
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Dépression
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Troubles hormonaux
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Troubles métaboliques
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Troubles cardiovasculaires
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Neurodégénération
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Cancer
> Alors votre horloge biologique est peut-être en dysfonctionnement (prix Nobel médecine 2017) et nous avons les solutions pour la remettre à l’heure !
Le DLMO est l’horloge du sommeil. Grâce à 5 dosages salivaires de la mélatonine nous mettons en évidence une éventuelle dysfonction de sécrétion en quantité ou dans le temps. En effet pour un endormissement optimal et un sommeil complet la mélatonine doit être sécrétée en quantité suffisante 2 à 3 heures avant l’endormissement. Si ce n’est pas le cas nous devrons chercher les causes et apporter le traitement le plus approprié. De plus, un déphasage de sécrétion de mélatonine est associé à un facteur de risque de cancer du sein chez la femme ainsi qu’une résistance à son traitement. Enfin la mélatonine permet également de contrecarrer la plupart des effets des perturbateurs endocriniens comme le cadnium et à donc un effet sur la fonction thyroïdienne.
La sulfatoxymélatonine est le principal métabolite urinaire de la mélatonine. La mesure de son excrétion dans les urines cumulées de la nuit est utilisée chez l’homme pour quantifier l’importance du pic nocturne de mélatonine plasmatique et ainsi mettre en évidence les causes de troubles du sommeil (réveil nocturne, insomnies...).
Le cortisol est l’hormone du stress. C’est elle qui permettait à nos ancêtres préhistoriques d’activer les processus physiologiques (augmentation de la fréquence cardiaque, de la dilatation des vaisseaux sanguins, de la libération d’insuline pour faire rentrer plus de sucre dans les cellules) pour fuir devant le danger (un animal féroce par exemple).
De nos jours, le stress aigu est rarement mais plutôt chronique (travail, famille…). Malheureusement les processus physiologiques restent les mêmes avec des conséquences désastreuses : troubles cognitifs, problèmes d’endormissement voire de troubles du sommeil, fatigue chronique, facteur de risque d’éventuels troubles mnésiques voire d’une maladie d’Alzheimer.
L’analyse se fait par 5 prélèvement salivaire au cours de la journée.
Un cortisol du matin en déficit peut être évocateur d’un épuisement professionnel ou surentraînement sportif tandis qu’une altération de son cycle permet de faire la différence entre un burn-out et une dépression dont les symptômes se ressemblent mais avec un traitement efficace complètement différent.
Les modifications de la pente diurne du cortisol correspondent aux mécanismes favorisant l’émergence d’états pathologiques ou marqueur d’autres formes de dysrégulations circadiennes (cardio-métaboliques, hormonal…).
Le profil immunitaire (uniquement pour les bilans profil hormonal+ profil immunitaire) n’est pas spécifique au bilan hormonal mais il permettra de vous proposer un traitement personnalisé de fond pour réduire les hormones en excès responsables de dysfonctions cliniques.